On aura tout vu enfin presque.....

Dr Phil a écrit:Pour revenir sur le sujet, nous on aime bien.

A l'apéro sur le bord du circuit à Gedinne.

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Très bon choix également.....

@+
G@zz

jIlr a écrit:mossieur le sudiste parle sans savoir de mon fief et s' il voyait ma pelouse en ce moment il verrait que tout n est pas vert 😎
au taff (quand je bossais encore ...) y avait un sudiste qui se plaignait du bruit des vagues : ça fait deux fois moins de bruit que vos culbuteurs vivants 😄
sinon dommage que je sois pas là en septembre sinon je t aurais fait connaître quelques coins 😉

Cela me rappelle une anecdote :

En 2010 j'ai du y passer disons 4 semaines courant Aout : l'herbe sur Cherbourg (vers le port de plaisance) était jaune .....Je n'en croyait pas mes yeux....j'en discute le lendemain au taf sur Valogne et je demande au soudeur : mais vous n'arrosez pas l'herbe ici?

Et là tous ils me regarde d'un air disons : mais il est fou lui....Mais on arrose pas ici!!!!!
Ah bon désolé.....

Comme quoi le réchauffement est bien là......
@+
G@zz

Attila-groquik a écrit:

Dr Phil a écrit:Pour revenir sur le sujet, nous on aime bien.

A l'apéro sur le bord du circuit à Gedinne.

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Très bon choix également.....


@+
G@zz

Un coup de cambusard rosé et il fait déjà moins chaud
Bravo Doc !

Dalton 40 a écrit:


... la connerie humaine, seule, donne
une idée de l'infini .


Daltonhumainetàquiriend'humainn'estétranger

... heu... non... c'est  l' Amour ... le définition qui va suivre demande un temps d'arrêt... pour bien mesurer la chose... qui n'est pas pour nous semble t'il.. quoique..  ha ha ha ha ...

... « L’amour c’est l’infini mis à la portée des caniches. »

.. quand au réchauffement pris dans sa haute dimension.. ce serait un mythe... en Normandie profonde l'herbe a réussi à garder quelques couleurs... tout n'est pas perdu... les échelles de temps sont en notre faveur... et sans doute que les générations suivantes garderont le sourire tellement le vacancier l'aime son soleil... en revanche l'eau pourrait poser quelques problèmes... bof, y'a la "Treille de Vigne"...


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En Normandie y'a  51 points d'eau avec des mesures 46 piézomètres et 5 piézomètreset qualitomètres avec des mesures correctes .. en France c'était  60 % des nappes qui affichaient un niveau modérément haut à très haut...

Selon le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), au 1er mai 2018, près des deux-tiers des nappes phréatiques (60 %) affichent un niveau modérément haut à très haut et moins d’un quart d’entre elles (21 %) affichent un niveau modérément bas à très bas. De quoi tenir l'été... et la pluie va revenir... là il pleut !


État des nappes phréatiques au 1er mai 2018 en France.

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Pour les caniches.. en boucle... j'ai de quoi répondre mais ça va pourrir le fil de discussion qui ne demande que ça .. vu son libellé .. ha ha ha .. vous m'dites...

Arv'

" Ce qui est grand dans l'homme c'est qu'il est un pont et non une fin : ce qui peut être aimé en l'homme c'est qu'il est un passage et un déclin. "

Quel rapport avec le chien ?
Les boucles ?

Et bin zou ! Soyons dithyramb..hic.
La fin du monde c'est pas direct !!!

Salut Arv, cher vieux fil osof moi l'histoire du caniche je voudrai savoir.

Quant au réchauffement, entre les "climatologues" qui veulent se faire un nom, les politiques et les économistes (qui ont peut être quelques intérêts) le béotien que je suis va attendre un moment pour avoir une idée sur le problème.

Pis elle va ou la y'eau  quand des pays gagnent des hectares sur les océans ?  

Pis le nucléaire, z'ah oui chuis c.n, y'a pas d'impact carbone, vive la fée électrique.

Bon, le caniche....le caniche !!!????!!  

Fait pas avancer le gros Mono ça

Bien que pour le nucléaire et l'électrique le Nautilus de Jules Verne était mu par une sorte de gros mono.

C'est l'heure

@ Arvella
... « L’amour c’est l’infini mis à la portée des caniches. »

Ça me va ...

Épis, les caniches, en temps de canicule ...

et celle là elle doit resister a tous les climats ! ! ! !

“La haine tue toujours, l'amour ne meurt jamais.”

rassurez vous elle n'est pas de moi
mais de Gandhi


lhommedesboisquiconnaisdumonde!!! !!!

Tout ça juste pour une histoire de Cigales, allez y lâchez vous (et non pas léchez vous).

@+
G@zz

Salut , bon ben si on peu se lâcher :
2 copains se promènent et voient un chien en train de se lécher la bite (courant chez les chiens), l'un dit : Ce que j'aimerais pouvoir en faire autant ! et l'autre de lui répondre : tu veux que je tienne le chien ?

Oh mazette ! J'crois avoir compris ! La blague..

Sinon:

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Le iench.

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L'infini.



Une 4L et des champignons.

Pfffff...

... pfffffffffffffffffffffffff...

Le contexte :

« L'amour, c'est l'infini mis à la portée des caniches et j'ai ma dignité, moi ! »

Voyage au bout de la nuit, Louis-Ferdinand Céline, éd. Gallimard, p. 17


Écoutez  sa  première lettre à Gallimard en 1932 (c'est au tout début de l'enregistrement)

...   700 pages de voyages à travers le monde, les hommes et la nuit, et l’amour, l’amour surtout que je traque, abîme, et qui ressort de là, pénible, dégonflé, vaincu…

Le fameux 4 pattes :  

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..  Ahouahouhouhouhou...  Slurp Slurp..

Le caniche est un chien de l'espèce des barbets, à poils frisés et généralement très fidèle ..  ... ne dit on pas  Être fidèle, suivre quelqu'un comme un caniche; être le caniche de quelqu'un  mais plus souvent C'est un caniche. C'est à dire un être servile ...

..  son gouvernement peut être caniche, lui il est dogue (Hugo, Actes et paroles,2, 1875, p. 21).


Exemple de situation :

N’as-tu jamais eu d’amour pour quelqu’un, fille ou garçon, esclave ou homme libre ? - Mais quel rapport cela a-t-il avec le fait d’être esclave ou libre ? - N’as-tu jamais reçu de l’être aimé l’ordre de faire ce que tu ne voulais pas ? N’as-tu jamais flatté ton petit esclave ? Ne lui as-tu pas baisé les pieds ? Et pourtant, si on te forçait à baiser ceux de César, tu y verrais une insulte et un excès de tyrannie. Qu’est donc l’esclavage sinon cela ? La nuit, n’es-tu jamais allé où tu ne voulais pas ? N’as-tu jamais dépensé plus que tu ne voulais ? N’as-tu jamais parlé en gémissant et en te plaignant ? N’as-tu jamais subi des injures ni supporté d’être mis à la porte ? Mais si tu as honte d’avouer ce qui t’es arrivé à toi-même, vois les paroles et les actes de Thrasonidès (...) : “Une vulgaire petite fille m’a réduit en esclavage, moi que jamais nul ennemi n’a pu subjuguer”. (...) Il envoie des cadeaux à cette fille qui le hait; il demande, il pleure; puis ayant quelque peu réussi il en est tout fier. Même alors, comment, toujours désirant, toujours craignant, aurait-il pu être libre ?

Epictète, Entretiens, 1er-2ème siècle


Vous voyez  l' contexte... les analogies...  la tendance métaphorique...  ou comment se moquer d'un sentiment exagérément  "conceptualisé" c'est à dire réduit et finalement simpliste  ... déjà de par sa négation "totale" et obstinée du réel...

Bla bla bla :

Céline. Le philanthrope est lucide et médecin. A ses yeux, l’homme est un petit animal ridicule : fini, imparfait et médiocre. Mais comme tous les petits chiens, il est belliqueux. Ce pitoyable clebs gueulard excelle dans la boucherie. Céline, lui, est végétarien. Les charniers ne lui ouvrent pas l’appétit. 14-18 a mutilé son corps, 39-45 hantera longtemps son esprit.
Si Céline se défie des hommes, car « leur faire confiance s’est déjà se faire tuer un peu », il passera sa vie à les soigner. Céline est paradoxal, sacrificiel. Le médecin des pauvres chérit ce qu’il hait le plus. Cet être qui le débecte, il devra le toucher, le rassurer, le sauver. Altruiste masochiste. Sublime docteur Destouches.
Céline a compris que l’homme est par excellence l’être du manque, de la limite, de la finitude. Cette condition est une fatalité. Pour se sentir exister dans la nuit, le caniche a besoin d’une lumière, d’une idée qui le détourne du sinistre réel. L’infini est une de ces idées. C’est une trace ironique que le Créateur a laissé en nous. Mais cette transcendance ultime nous excède, nous écrase et nous ne la comprenons pas. Car l’infini, c’est le contraire de l’homme.
En revanche, l’amour, petite transcendance médiocre, est « à notre portée » . C’est un ersatz infâme qui cherche à concilier deux entités hétérogènes : le fini et l’infini. L’homme et Dieu. Céline voit dans l’amour une ruse de la raison. Une illusion perverse qui veut satisfaire un désir absurde d’immortalité. Car, dans le phénomène amoureux, l’homme prend pour un but individuel un but générique. La volonté métaphysique est trompeuse. Derrière la conception romantique et exclusive de l’amour se cache une finalité immanente et biologique : la perpétuation de l’espèce.  Ouaf Ouaf !

Rien de plus.

Alors ... Amour ...  Liberté ...    mon Cul ..

Sur ce je vais r'gonfler mon pneu avant... donner plus d' garde à mon levier d'embrayage...  revoir la forme et la position d' ma pédale de frein... déterminer la zone du réservoir qui recevra du grip-genoux... retendre un p'tit peu ma chaîne secondaire... épicétou

Arv'

sans aller plus loing..

@ Arvella :
Louis-Ferdinand Céline, à le lire on pourrait dire
"les hommes (les êtres humains), tous des salauds ..."
Victor Hugo, tous des géants ...
Jean Lartéguy, tous des héros ...
San Antonio, tous des rigolos ...
Bref, à chacun sa vision de l'humanité . Celle de
Céline n'est pas particulièrement optimiste . Il est
vrai que, présentée avec son talent, on la croirait
seule objective .

Il me plait d'espérer qu'au bout d'un voyage et d'une
nuit aussi noirs il se trouvera un matin apaisé et ,
pourquoi pas, ensoleillé . Et quand "midi roi des étés,
épandu sur la plaine, tombera  en nappes d'argent
des hauteurs du ciel bleu", alors chanteront coqs et
cigales, et, plaise à Dieu, sans aucun pisse-triste pour
les en empêcher !

'tout cas le père Céline hitlérien c'est un peu fâcheux non ?

Le discourt était-il trop convainquant pour qu'on s'y laisse prendre ?

et les abeilles dans tout ça !?

Le gromono mène à tout. J'adore ! Continuez !
En tous cas un post bien nommé. Rappelez-moi, on est parti des cigales ?

Excellent......

Le gros mono ou la philo pour les tarés du kick......

@+
G@zz

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Bonne nuit !

Il y a ça aussi que je n'aime pas :

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"La terre où nous vivons, elle ne nous appartiens pas ce sont nos enfants qui nous la prête....Nous avons le devoir de leur rendre en bon état et c'est mal parti......".

Pfff......



@+

HL 29 a écrit:

1R7 a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Anonyme ...

Ca marche aussi sur les cons ???

L'enfumage; c'est la matière première des politiques !

Dalton 40 a écrit:

Louis-Ferdinand Céline, à le lire on pourrait dire
"les hommes (les êtres humains), tous des salauds ..."
Victor Hugo, tous des géants ...
Jean Lartéguy, tous des héros ...
San Antonio, tous des rigolos ...
Bref, à chacun sa vision de l'humanité . Celle de
Céline n'est pas particulièrement optimiste . Il est
vrai que, présentée avec son talent, on la croirait
seule objective .

Il me plait d'espérer qu'au bout d'un voyage et d'une
nuit aussi noirs il se trouvera un matin apaisé et ,
pourquoi pas, ensoleillé . Et quand "midi roi des étés,
épandu sur la plaine, tombera  en nappes d'argent
des hauteurs du ciel bleu", alors chanteront coqs et
cigales, et, plaise à Dieu, sans aucun pisse-triste pour
les en empêcher !

Ben oui...  au pays des aveugles, roi est le borgne...  mais quand même...  j' vous mettrais bien le texte de Denoël, son premier éditeur, à propos de son deuxième roman qui fut attaqué  niveau "Bombe Tsar" + "Castle Bravo" ...

ROBERT DENOËL
APOLOGIE DE MORT À CRÉDIT

Les curieux sauront aller au texte. Il est tout de même préférable avant d’ emmètre un avis sur quelqu'un d’aller y voir tout seul comme un grand. Pour tout écrivain, la lecture attentive des bouquins est un minimum,  papier crayon ... une nécessité... car parfois c'est assez dense ... ensuite seulement on peut causer.
Les gens n'aiment pas la vérité directe, complétement délirante... toute crue dans la gueule... bien difficile à digérer sans doute... depuis les écrits à charge, pour bien de raisons, n'ont pas cessé... Comme quoi le talent littéraire, pas si courant,  a un impact incommensurable quand il s'attaque à la société dans sa  globalité... Avantage, chez lui, c'est étonnamment drôle  !
Quant à l'objectivité,  qualité de ce qui existe en soi, indépendamment du sujet pensant... cette intuition d'un milieu homogène.. homogène ? ... où  homogène !?!?!  .. pfff..   va t'on continuer à perdre son temps avec cette notion... "parc fermé" et sécurisé de tous nos journaleux...  hein...  ha ha ha ha ..

Tin, la prochaine fois, à moto, dès qu' j' vois un caniche ...   en passant près du trottoir,  j' lui file un bon coup d' botte dans l'cul et j' l' satellise... épicétou
Arv'




... tin... l'autre fois chuis tombé sur du jeune... des "au milieux d' la vie" .. quarantenaires koa...  m' parlaient d' leur passion dans l'boulot (plutôt "machinique du bulbe") .. contexte genre "épaisse moquette parisienne, haut plafond, cul sur chaise, écran devant les mirettes"   ... bon... pourquoi pas... avec un 500 SR à rien pour s'oxygéner en fin de semaine.... hein... ça peut tenir..
Alors sur leurs smartphones dégainés en permanence  je leur ai demander de chercher un p'tit texte...  L'architecte des cavernes ... qu'on discute un peu... p't'1 ... bien rigolé.. jaune... ha ha ha ha

... il pleut à Silverstone :   [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Qu'est-ce qui dit le papier-crayon... après avoir lu. Bagatelles pour un massacre. L'école des cadavres.
Quelques morceaux... choisis... peut-être ?
'tout cas si on voulait les lire ces deux bouquins..faudrait se saigner !

Enfin.. faute de pelouse.. j'ai bien rangé l'atelier.. 500 Kg de ferraille à la poubelle.. j'aperçois le mur du fond.. du jamais vu !!

K2000 a écrit:

K2000 a écrit:
si on voulait les lire .. j'aperçois le mur du fond.. du jamais vu !!
:face:

Pour voir le "mur du fond"...

Au fait ...

Objectivité: somme des subjectivités d'autrui,
savamment distillée à mon usage et par moi-
même ...

J'adore voir comment un sujet a la con part en vrille, pourrissez, pourrissez pendant ce temps vous ne faîtes pas de conneries par contre madame s'ennuie au fond du lit......

A+
G@zzzzzzz

Madame s'ennuie au fond du lit ...
Tiens donc, personne ne lui a dit
"dans le mitan du lit, la rivière est
profonde, lon la ..."

Pourrissez, pourrissez il en restera toujours quelque chose