De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
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De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
Vu çà sur un site de club de voitures anglaises. Bon….. il éxagère (un peu) mais c'est pas complètement faux !
" La voiture anglaise est peut-être une idée, ou bien une réflexion sur le monde, ou encore un point de vue sur l'existence, mais certainement pas un moyen de transport.
Acquérir un engin de cette sorte signifie implicitement renoncer une fois pour toutes à la conduite automobile.
Car une voiture anglaise n'est pas faite pour rouler. Elle n'a jamais été conçue ni construite pour cela. En revanche - ceux qui en possèdent l'attestent avec l'œil brillant des flagellants -, elle a été savamment mise au point pour vous compliquer la vie, ruiner graduellement votre confiance, votre épargne, tout en salissant sournoisement votre garage. C'est bien le propre d'une voiture anglaise - quelle que soit son extraction - que de goutter, de suppurer, de perdre toutes sortes de liquides lubrifiants ou refroidissants. A voir ces traces brunâtres et récurrentes sur les sols des abris, on dirait que le moteur ou la boîte ont été pensés, imaginés autour de la fuite, dessinés pour sublimer ce goutte-à-goutte têtu et raffiné dont aucune clé, fût-elle six pans, ne vint jamais à bout. En fait, tout se passe comme si les Anglais avaient fabriqué des voitures humides pour se fondre dans les rideaux de pluie.
En réalité, les Britanniques ont inventé la voiture domestique, cette sorte d'animal mécanique qui déteste faire de l'exercice mais n'aime rien tant que de vieillir au plus près des hommes, tout en gardant une certaine valeur. Car, si les anglaises flanchent sur les déplacements, elles ont en revanche le mérite de devenir souvent avec l'âge de bons petits placements. Si on la considère de ce point de vue - celui de l'énurétique animal de compagnie -, la voiture anglaise prend alors du sens. Je parle bien évidemment là des véritables anglaises d'époque, et non point de ces mauvaises répliques d'aujourd'hui assemblées par de bien peu fantaisistes repreneurs américano-germaniques. Je parle de celles dont la première craque, dont la seconde, troisième et quatrième ne passent pas, celles qui ne démarrent jamais le matin et rarement le soir, celles qui sont équipées de carburateurs SU, d'allumeurs Lucas, et de compteurs Smith, et d'overdrive Laycock, autant d'équipements funestes mis au point par des compagnies loufoques, malfaisantes et nuisibles qui ont cependant, un temps, fait la gloire et conforté l'image de l'industrie automobile d'outre-Manche confite dans les plis de ses cuirs. Je parle de toutes ces voitures splendides qui flattaient l'œil autant que l'odorat.
Lorsque l'on s'asseyait à l'intérieur de ces berlines, de ces coupés ou de ces cabriolets, il s'en dégageait toujours une odeur de sous-bois, un parfum indéfinissable, mélange de pourriture noble, de moquette humide et d'huile de boîte rancie. Bien sûr, chaque marque, chaque modèle avait sa propre fragrance, mais il demeurait une base, une effluence commune. Et c'est là, dans la position du rêveur flairant, que vous perdiez la tête, la narine frémissante, la main flattant le Connoly, l'œil voletant sur l'érable moucheté et les chromes des poignées. Et vous fermiez les yeux, et vous aviez des grillons dans la tête, et quelque chose vous disait que vous alliez parcourir le monde dans ce canapé à ressorts hélicoïdaux dont le marchand ne cessait de vous vanter la souplesse.
Et vous faisiez alors un chèque, un chèque sans fin, pour acquérir à la fois une nationalité qui vous était étrangère et un sentiment d'îliens qui n'avait qu'un lointain rapport avec la mer. Et vous pensiez acheter une Jaguar, une MG, une Triumph, une Sunbeam, une Alvis, ou une Healey, bref un petit peu plus qu'une automobile, alors que vous veniez de devenir propriétaire d'une tonne d'emmerdements équitablement répartis sur chaque essieu.
Mon garagiste spécialisé me parle souvent des Jaguar XJ 6. Il les parque toutes dans le même coin de son atelier, sorte de pavillon des contagieux, et les appelle ses boîtes à chagrin : « Quand on voit comment c'est fabriqué, on se demande comment ça peut rouler ». Mon garagiste est un homme pragmatique. Quand il évoque la XJS 12, il dit : « La six, c'était un six-cylindres. La 12, je vous laisse faire le compte, c'est les mêmes soucis multipliés par deux ».
Et pourtant, si l'on considère ces voitures pour ce qu'elles sont, des véhicules de garage, des pur-sangs immobiles, des petits salons d'ambassade, des fragments de Commonwealth, des exercices d'ameublement, des coques d'élégance, des noyaux de bon goût, alors, tout va bien. C'est lorsque vous mettez le contact et que vous ambitionnez de vous rendre d'un point à un autre que l'exercice se gâte et que la machine se grippe. Je sais de quoi je parle. J'ai pratiqué ce sport qu'est la panne anglaise durant une quinzaine d'années. J'ai été successivement trahi par deux Austin 1300, abandonné par une TR4 IRS, plaqué par une Sunbeam, ridiculisé par une Triumph Vitesse 6, humilié par une MGB qui alla jusqu'à s'enflammer, spontanément, moteur coupé, à l'arrêt, dans le garage. Toutes ces voitures ont passé plus de temps chez le réparateur qu'avec moi sur les routes. Toutes étaient séduisantes au point qu'après chaque panne j'avais la conviction que nous repartions, elles et moi, sur de nouvelles bases. Toutes avaient cette odeur caractéristique qui inspirait confiance. Toutes étaient splendides sous la pluie. Toutes rouillaient inexorablement. Toutes avaient quelque chose d'humain. Toutes m'ont lâché du jour au lendemain.
Ce n'est que vers la fin que j'ai compris l'usage qu'il fallait faire de ces fauteuils de jardin. Le soir, je sortais le cabriolet sur la pelouse, j'abaissais la capote, j'allumais une cigarette et la radio, puis, voyageur immobile, je fumais en regardant passer l'été dans le ciel. Aujourd'hui, j'ai fait l'acquisition d'un petit roadster japonais. Il est parfaitement étanche. Le matin, je démarre, été comme hiver. Le mélange air-essence est géré par un processeur. Le chauffage chauffe, le ventilateur souffle, les vitesses passent en douceur, la consommation est raisonnable, la tenue de route irréprochable. Je ne fréquente plus aucun mécanicien. J'ai annulé mon assurance dépannage.
Bref je roule en automobile.
Autrement dit, je m'emmerde. "
" La voiture anglaise est peut-être une idée, ou bien une réflexion sur le monde, ou encore un point de vue sur l'existence, mais certainement pas un moyen de transport.
Acquérir un engin de cette sorte signifie implicitement renoncer une fois pour toutes à la conduite automobile.
Car une voiture anglaise n'est pas faite pour rouler. Elle n'a jamais été conçue ni construite pour cela. En revanche - ceux qui en possèdent l'attestent avec l'œil brillant des flagellants -, elle a été savamment mise au point pour vous compliquer la vie, ruiner graduellement votre confiance, votre épargne, tout en salissant sournoisement votre garage. C'est bien le propre d'une voiture anglaise - quelle que soit son extraction - que de goutter, de suppurer, de perdre toutes sortes de liquides lubrifiants ou refroidissants. A voir ces traces brunâtres et récurrentes sur les sols des abris, on dirait que le moteur ou la boîte ont été pensés, imaginés autour de la fuite, dessinés pour sublimer ce goutte-à-goutte têtu et raffiné dont aucune clé, fût-elle six pans, ne vint jamais à bout. En fait, tout se passe comme si les Anglais avaient fabriqué des voitures humides pour se fondre dans les rideaux de pluie.
En réalité, les Britanniques ont inventé la voiture domestique, cette sorte d'animal mécanique qui déteste faire de l'exercice mais n'aime rien tant que de vieillir au plus près des hommes, tout en gardant une certaine valeur. Car, si les anglaises flanchent sur les déplacements, elles ont en revanche le mérite de devenir souvent avec l'âge de bons petits placements. Si on la considère de ce point de vue - celui de l'énurétique animal de compagnie -, la voiture anglaise prend alors du sens. Je parle bien évidemment là des véritables anglaises d'époque, et non point de ces mauvaises répliques d'aujourd'hui assemblées par de bien peu fantaisistes repreneurs américano-germaniques. Je parle de celles dont la première craque, dont la seconde, troisième et quatrième ne passent pas, celles qui ne démarrent jamais le matin et rarement le soir, celles qui sont équipées de carburateurs SU, d'allumeurs Lucas, et de compteurs Smith, et d'overdrive Laycock, autant d'équipements funestes mis au point par des compagnies loufoques, malfaisantes et nuisibles qui ont cependant, un temps, fait la gloire et conforté l'image de l'industrie automobile d'outre-Manche confite dans les plis de ses cuirs. Je parle de toutes ces voitures splendides qui flattaient l'œil autant que l'odorat.
Lorsque l'on s'asseyait à l'intérieur de ces berlines, de ces coupés ou de ces cabriolets, il s'en dégageait toujours une odeur de sous-bois, un parfum indéfinissable, mélange de pourriture noble, de moquette humide et d'huile de boîte rancie. Bien sûr, chaque marque, chaque modèle avait sa propre fragrance, mais il demeurait une base, une effluence commune. Et c'est là, dans la position du rêveur flairant, que vous perdiez la tête, la narine frémissante, la main flattant le Connoly, l'œil voletant sur l'érable moucheté et les chromes des poignées. Et vous fermiez les yeux, et vous aviez des grillons dans la tête, et quelque chose vous disait que vous alliez parcourir le monde dans ce canapé à ressorts hélicoïdaux dont le marchand ne cessait de vous vanter la souplesse.
Et vous faisiez alors un chèque, un chèque sans fin, pour acquérir à la fois une nationalité qui vous était étrangère et un sentiment d'îliens qui n'avait qu'un lointain rapport avec la mer. Et vous pensiez acheter une Jaguar, une MG, une Triumph, une Sunbeam, une Alvis, ou une Healey, bref un petit peu plus qu'une automobile, alors que vous veniez de devenir propriétaire d'une tonne d'emmerdements équitablement répartis sur chaque essieu.
Mon garagiste spécialisé me parle souvent des Jaguar XJ 6. Il les parque toutes dans le même coin de son atelier, sorte de pavillon des contagieux, et les appelle ses boîtes à chagrin : « Quand on voit comment c'est fabriqué, on se demande comment ça peut rouler ». Mon garagiste est un homme pragmatique. Quand il évoque la XJS 12, il dit : « La six, c'était un six-cylindres. La 12, je vous laisse faire le compte, c'est les mêmes soucis multipliés par deux ».
Et pourtant, si l'on considère ces voitures pour ce qu'elles sont, des véhicules de garage, des pur-sangs immobiles, des petits salons d'ambassade, des fragments de Commonwealth, des exercices d'ameublement, des coques d'élégance, des noyaux de bon goût, alors, tout va bien. C'est lorsque vous mettez le contact et que vous ambitionnez de vous rendre d'un point à un autre que l'exercice se gâte et que la machine se grippe. Je sais de quoi je parle. J'ai pratiqué ce sport qu'est la panne anglaise durant une quinzaine d'années. J'ai été successivement trahi par deux Austin 1300, abandonné par une TR4 IRS, plaqué par une Sunbeam, ridiculisé par une Triumph Vitesse 6, humilié par une MGB qui alla jusqu'à s'enflammer, spontanément, moteur coupé, à l'arrêt, dans le garage. Toutes ces voitures ont passé plus de temps chez le réparateur qu'avec moi sur les routes. Toutes étaient séduisantes au point qu'après chaque panne j'avais la conviction que nous repartions, elles et moi, sur de nouvelles bases. Toutes avaient cette odeur caractéristique qui inspirait confiance. Toutes étaient splendides sous la pluie. Toutes rouillaient inexorablement. Toutes avaient quelque chose d'humain. Toutes m'ont lâché du jour au lendemain.
Ce n'est que vers la fin que j'ai compris l'usage qu'il fallait faire de ces fauteuils de jardin. Le soir, je sortais le cabriolet sur la pelouse, j'abaissais la capote, j'allumais une cigarette et la radio, puis, voyageur immobile, je fumais en regardant passer l'été dans le ciel. Aujourd'hui, j'ai fait l'acquisition d'un petit roadster japonais. Il est parfaitement étanche. Le matin, je démarre, été comme hiver. Le mélange air-essence est géré par un processeur. Le chauffage chauffe, le ventilateur souffle, les vitesses passent en douceur, la consommation est raisonnable, la tenue de route irréprochable. Je ne fréquente plus aucun mécanicien. J'ai annulé mon assurance dépannage.
Bref je roule en automobile.
Autrement dit, je m'emmerde. "
TRXT- les jeunes te doivent le respect !
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Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
Magnifique texte TRXT !!!
Et combien vrai (même si les exceptions maintiennent le rêve que "ça" sait rouler);
mais un meilleur écrivain que moi pourrait écrire un texte similaire sur les femmes ? non ? D'accord : non !!
Et combien vrai (même si les exceptions maintiennent le rêve que "ça" sait rouler);
mais un meilleur écrivain que moi pourrait écrire un texte similaire sur les femmes ? non ? D'accord : non !!
Pirlouit- te voilà un initié !
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TRXT- les jeunes te doivent le respect !
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Pirlouit- te voilà un initié !
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Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
Pirlouit a écrit:Magnifique texte TRXT !!!
Et combien vrai (même si les exceptions maintiennent le rêve que "ça" sait rouler);
mais un meilleur écrivain que moi pourrait écrire un texte similaire sur les femmes ? non ? D'accord : non !!
J'ai quand même fait 15000 bornes en 8 ans avec ma TR !….. preuve que çà finit par rouler malgré tout. Et même plutôt bien.
Ce qui me fait marrer dans ce texte, c'est le coté olfactif ! çà c'est bien vrai !
Lorsque j'ai repris la TR et qu'elle était encore complètement d'origine, je n'avais pas besoin de compte-tours : à chaque régime son odeur, par tranche de 1000 tr/mn
Huile chaude, caoutchouc brûlé, moquette chaude, vapeurs d'eau, plastiques ou similis chauds…… et vers 4500 tr: le tout en même temps !!!
J'ai appris à ne pas m'inquiéter. Et d'ailleurs, çà ne l'a jamais empêché de rouler
TRXT- les jeunes te doivent le respect !
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Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
Bien d'accord avec toi, ... mais il faut aussi maintenir le mythe, ... et puis c'est pour tout ça qu'on les aime !!
Pirlouit- te voilà un initié !
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Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
bonjour, belle prose ..........qui s'applique aussi aux engins a deux roues de la même origine géographique !!! que de souvenirs avec une certaine "bonneville" que j'ai fini par détester c'est tout a fait vrai qu'il y avait aussi une odeur particulière qui parfumait le garage, pourquoi? j'y mettait de l'huile Berliet (de la MV3 ) achetée en bidon de 30 litres tellement elle était gourmande, c'est vrai qu'on les aime tant que l'on ne s'avoue pas vaincu ni humilié par tant de fourberies, on s'enfonce petit a petit dans la négation de la cruelle réalité, puis un jour la lumière apparait .......
Invité- Invité
Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
Je n'ai jamais réussi à dire du mal du matos anglais avec autant de panache, j'applaudis des 2 mains, des 2 pieds, des 2... Euh non! Comme cet homme a raison! Et c'est pas près de s'arrêter!
Invité- Invité
Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
Coucou
mais les mécaniques anglaises sont comme leur musique, elle vieillissent bien
E.T.
mais les mécaniques anglaises sont comme leur musique, elle vieillissent bien
E.T.
Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
TRXT a écrit:... je m'emmerde. "
[/color]
J'ai un copain de nouba sur Gromono, Antoine Houdar de La Motte ... qui m' disait : tu sais Arvella, L'ennui naquit un jour de l'uniformité. ... bon d'accord .. mais.. c'est quoi l'uniformité ? ... je pense que c'est la recherche du confort par le centre, la moyenne... surtout s'éloigner des limites... mais delà aller rouler sur des bidules qui te font passer tout l'hiver à l 'établi... bof.. on peut aimer cela mais quand même... ces industries se sont effondrées car les brittons ne savaient plus produire de bonnes motos pour l' époque ... certes la conception avait parfois des aspects lumineux mais malheureusement les solutions de "compliqué du bulbe" n'ont rien arrangé... Aujourd'hui c'est oublié... les motos anglaises ne roulent plus à part quelques unes de ci de là ... effectuant un grand nombre de kilomètres sur des remorques... ... ça brille... par les chromes !
Les autres bien vitaminées ont dans le ventre des technologies d'aujourd'hui... Y'a même des italiennes qui gagnent des courses d'endurance avec des performances inconnues à l’époque ... ha ha ha .. ces Guz sont tout de même sympathiques... puisqu'on ne leur demande plus d'aller au boulot tous les jours sous la flotte... mais plutôt à la boulangerie le dimanche matin ... au printemps ...
ARVELLA- pas trop seul là haut ?
- Nombre de messages : 7023
Age : 108
Localisation : Penn Ar Bed
Date d'inscription : 06/08/2006
Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
ARVELLA a écrit: tu sais Arvella, L'ennui naquit un jour de l'uniformité.
Ah ben c'est pour ça qu'à l'armée, je me suis fait chier pendant une an ? J'avais une belle uniformité kaki, avec un jouli béret. Ca donne l'air intelligent, les bérets !!!
pop- pas trop seul là haut ?
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Localisation : Là haut chez les fous
Date d'inscription : 24/07/2006
Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
pop a écrit: Ca donne l'air intelligent, les bérets !!!
Euh....je crois que c'est juste une impression!
le cocombre masqué- pas trop seul là haut ?
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Localisation : LA (Les Andelys) (27700)
Date d'inscription : 24/02/2009
Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
Vu que ma polémique d'aujourd'hui m'a déjà suffisamment fait remonter les bretelles, je vais laisser à un autre le soin de faire la liaison entre l'intelligence, les bérets et ceux qui les portent, au premier rang desquels les Basques! Moi, j'ai rien dit...
quand même!
quand même!
Invité- Invité
Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
prof Mickie a écrit:Vu que ma polémique d'aujourd'hui m'a déjà suffisamment fait remonter les bretelles, je vais laisser à un autre le soin de faire la liaison entre l'intelligence, les bérets et ceux qui les portent, au premier rang desquels les Basques! Moi, j'ai rien dit...
quand même!
Hum.... j'ai comme dans l'idée que ce n'est pas fini pour aujourd'hui le remontage de bretelles!
le cocombre masqué- pas trop seul là haut ?
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Localisation : LA (Les Andelys) (27700)
Date d'inscription : 24/02/2009
RollingXT- maintenant la route du nirvana !
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Localisation : Presqu'île du cotentin
Date d'inscription : 22/10/2007
Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
ET a écrit:
Tu as du détail ?
E.T.
Pas plus que ça...
Kékpart bill77 a écrit:1m de haut, 30 cm de diamètre, découpé au laser dans une feuille de 2mm de métal roulée, une belle cheminée . . .
chez : STD, Josef Zimmer, Im Büttelwoog 4, D-66994 Dahn pour 235€
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Rolling
RollingXT- maintenant la route du nirvana !
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Localisation : Presqu'île du cotentin
Date d'inscription : 22/10/2007
Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
Moi j'ai collectionné les Anglaises à une époque de ma vie... mais elles étaient "petites".
En tout cas très mignonnes et pas farouches.
Je suis meme allé m'installer dans leur beau pays quelques temps...
Ha bon, ce n'est pas le sujet ?
En tout cas très mignonnes et pas farouches.
Je suis meme allé m'installer dans leur beau pays quelques temps...
Ha bon, ce n'est pas le sujet ?
FAGEY- t'es un pilier !
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Localisation : je suis un Oisif du 60 et Breton de sang
Date d'inscription : 30/11/2008
FAGEY- t'es un pilier !
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patt500- persévère !
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Localisation : juste après Venus et avant Mars
Date d'inscription : 07/08/2006
Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
coucou
C'est l’ancêtre du weber double corps ?
E.T.
C'est l’ancêtre du weber double corps ?
E.T.
patt500- persévère !
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Localisation : juste après Venus et avant Mars
Date d'inscription : 07/08/2006
Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
coucou
tu parles d'un indice ... bon doit y avoir un boisseau pour les gaz et un pour l'enrichissement au démarrage
de toute façon c'est un vieux truc tout pourri qui doit rester dans un musée et ne pas encombrer les routes, de toute façon on saurait pas où mettre les tilos tests ...
E.T.
tu parles d'un indice ... bon doit y avoir un boisseau pour les gaz et un pour l'enrichissement au démarrage
de toute façon c'est un vieux truc tout pourri qui doit rester dans un musée et ne pas encombrer les routes, de toute façon on saurait pas où mettre les tilos tests ...
E.T.
Dernière édition par ET le Sam 07 Juil 2012, 18:08, édité 1 fois
Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
Pour une fois, le prince du hors-sujet recentre le débat (pis le carbu, je le connais et la moto kivahavec aussi): Concernant le texte sur les voitures anglaises, je pourrais avoir le site ou le nom de l'auteur? c'est pour citation...
Invité- Invité
patt500- persévère !
- Nombre de messages : 163
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Localisation : juste après Venus et avant Mars
Date d'inscription : 07/08/2006
Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
Merci Patt
J'ai récupéré ce texte sur un site de club de voitures anglaises mais ce n'était pas signé...
Apparemment, il s'agit bien de Jean-Paul Dubois dans "Tous les matins je me lève" de 1988.
J'ai récupéré ce texte sur un site de club de voitures anglaises mais ce n'était pas signé...
Apparemment, il s'agit bien de Jean-Paul Dubois dans "Tous les matins je me lève" de 1988.
TRXT- les jeunes te doivent le respect !
- Nombre de messages : 3389
Age : 61
Localisation : IDF
Date d'inscription : 30/11/2007
Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
Exemple de la tournure d'esprit de l'ingénieur britannique des années 60 :
La TR4 a été prévue (et dessinée) pour recevoir une manivelle
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Sauf qu'il est absolument impossible de passer quoi que ce soit par ce trou car il y a le radiateur juste derrière et il n'est pas percé (fortunately :queen: ) …………….
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Never explain, never complain
In fact, it's just to look so cute and pretty :geek: :geek: , and also to seem a bit old-fashioned [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
:geek: :geek: :geek: :geek: :geek: :geek:
La TR4 a été prévue (et dessinée) pour recevoir une manivelle
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Sauf qu'il est absolument impossible de passer quoi que ce soit par ce trou car il y a le radiateur juste derrière et il n'est pas percé (fortunately :queen: ) …………….
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Never explain, never complain
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TRXT- les jeunes te doivent le respect !
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Localisation : IDF
Date d'inscription : 30/11/2007
Re: De l'engin de collection, et de l'anglaise en particulier
quelle jolie voiture !
FAGEY- t'es un pilier !
- Nombre de messages : 2236
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Localisation : je suis un Oisif du 60 et Breton de sang
Date d'inscription : 30/11/2008
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