Flying SR

Ce sera mon mono ultime , c'est vrai qu'à présent il est temps de commencer.



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Fb du dragon endormi...

PS: c'est l'embarras  du choix... il en existe encore 10 autres triangles...

suffisait d'demander !

huuuummmmm ! une Vélopette !

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C'est bien un cadre de Velocette, je ne rêve pas ?
Et si je ne vois pas trop mal, un moteur SR dedans.
Une histoire à ton projet ?

Sur la photo, en bas à droite je crois reconnaitre une
Véloce (échappement) n° 33, mais le pilote ?

Là où j'adhère entièrement c'est la montre . Si, à 70
ans, tu n'as pas encore une "Dali-Molle"tu risques de
rater ta vie. Du moins ce qu'il en reste ..."
Tribute to l'aut fils de pub

M'enfin Dalton ! T'as le soleil dans l'œil ? C'est un moteur de xt non ?

Dali-da:

Tu arrives à faire la différence . Moi pas,
à ce niveau de démontage . Sauf, peut-être,
si ce qu'on aperçoit est l'axe de l'allumeur ?

T'façon, la XT, c'est le jeu des 7 erreurs .
Elles on été corrigées avec la SR ...

Quant à Dalida, rien à voir avec Dali . Si à
36 ans on n'a pas encore gouté au chocolat
Lanvin, on a, assurément, raté quelque chose .

n° 33

Dalton 40 a écrit:

... c'est la montre . Si, à 70
ans, tu n'as pas encore une "Dali-Molle"tu risques de
rater ta vie. Du moins ce qu'il en reste ..."
Tribute to l'aut fils de pub

.. ça m' fait penser à Dali...  dans Jésus c'est du fromage ... qui coule.. et c'est du Camembert... alors ici en Normandie ça a du sens.. hein... ha ha ha ha ..    bonhomme excellent au pinceau .. à la plume.. à lire.. à entendre... en attendant écoutez le ... ici, par la  grâce de Saint Augustin (lire Lucien Jerphagnon) .. ha ha ha ha ha ..  :

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....

Dalton 40 a écrit:.

Quant à Dalida, rien à voir avec Dali .

Ouaip c'est sûr qu'le Dali est plus en rapport avec le chocolat.. moi j'aime pas Dali ( sauf sa baraque à Portlligat avec les oeufs su'l'toit qu'est un très bon mouillage )... j'préfère Picasso ! Moins connu !

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Yapa a dire, l'originale est quand même plus racée....

guidon, berceau, résé, silencieux.....

ARVELLA a écrit:

.. ça m' fait penser à Dali...  dans Jésus c'est du fromage ... qui coule.. et c'est du Camembert... alors ici en Normandie ça a du sens.. hein... ha ha ha ha ..  

....

"AH quand Dali venait à Cherbourg ...à la recherche d'une coiffe normande...le maître affectionnait Cherbourg, son port d'attache... Dali ne traversait l'Atlantique qu'en paquebot Old England...Il aimait cette ville pas fière qui lui fichait la paix...Le grand artiste de Figueras vouait une vraie admiration à Jean-François Millet, l'enfant du pays. Et un vrai culte à L'Angélus, son célébrissime tableau...En 1976, il avait obtenu du Musée du Louvre qu'il passe la fameuse toile aux rayons X.Il était convaincu que Millet y cachait quelque chose. Effectivement, au centre de la toile, sous la brouette et le sac de pommes de terre,le peintre de la Hague avait noirci un repentir, enfoui une ébauche masquée. Dali pensait qu'il s'agissait d'un cercueil d'enfant. Le mythe tragique de L'Angélus le pourchassait."

Il répétait : « Millet nous a inspirés, Van Gogh et moi. »

Source :http://duolimonis.canalblog.com/archives/2019/07/26/37439432.html

Dalton 40 a écrit:
Une histoire à ton projet ?

Sur la photo, en bas à droite je crois reconnaitre une
Véloce (échappement) n° 33, mais le pilote

Je te réponds dans l'écurie 2.0 de Pirlouit aprés tout c'est aussi son Dada , rien à voir avec Dali

Cette partie cycle de velocette MSS arrivée chez moi sans avoir su refuser une proposition...

Une histoire assez singulière ... pour un mono, rien d'étonnant .
Je ne sais pas si le 33 est un clin d'œil aux frères la truelle ?


LES THRUXTONS "SQUISH"

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Quel est le point de départ pour raconter l'histoire d'une moto très spéciale ; est-ce la date de livraison de l'usine ? Ou est-ce qu'on creuse un peu plus pour donner la raison pour laquelle une machine particulière a été fabriquée ?

Dans le cas d'un petit lot de Velocette Thruxton 1967 modifiées en usine, le fait de tirer tous les fils de l'histoire m'a laissé avec un tas de fil sur le sol, sans écharpe, et sans modèle de tricot ! Mais c'est le travail de l'écrivain d'assembler un enchevêtrement chaotique de faits en un récit cohérent, et ainsi commence le récit de la "Production" TT de 1967 de l'île de Man, d'une douzaine de Velocettes très spéciales, issues de 50 ans de développement de moteurs.

Pour le 60ème anniversaire ('Diamond Jubilee') du TT de l'île de Man, il a été décidé de ressusciter une partie de l'intention originale des courses du Tourist Trophy : des motos de production soumises à un test rigoureux à plein régime sur des centaines de kilomètres de course sur le circuit le plus difficile du monde. Ainsi, pour 1967, trois classes de cylindrée (250/500/750cc) ont été introduites, avec la stipulation que les machines devaient être des motos de série sans pièces  spéciales ni réglage d'usine.

Les constructeurs britanniques ont probablement donné un coup de pouce aux organisateurs du TT pour cette nouvelle classe, car les constructeurs japonais avaient mordu à l'hameçon lors des courses de TT et de Grand Prix, remportant des championnats dans toutes les catégories. Ils n'avaient pas encore conquis le marché des grosses ventes de motos (c'est-à-dire plus de 500cc), mais Honda a présenté son bicylindre CB450 à DACT en 1965, qui était bien plus avancé techniquement que n'importe quelle moto de course britannique actuellement proposée ! Ainsi, une victoire britannique garantie dans les courses de 500cc et 7 TV50cc Production allait générer une bonne presse bien nécessaire.

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10 juin 1967 : les trois classes de course sont disputées le même jour, avec toutefois cinq minutes d'intervalle entre les classes (les 250 sont arrivées en dernier), avec un départ en masse de type " Le Mans ". Il y avait soudain beaucoup de machines sur les routes de Manx ! Dans la catégorie 500cc, alors que la fumée du départ se dissipait, on pouvait voir deux pilotes donner des coups de kicks à leurs montures - tous deux sur des Velocettes ! Neil Kelly (photo du haut) et Keith Heckles (ci-dessus, n°31) avaient du mal à démarrer leurs Thruxton, qui, en raison de leur état de préparation élevé, sont notoirement difficiles et ont tendance à bouder aux pires moments. Ni Kelly ni Heckles n'avaient d'expérience dans le démarrage d'une moto : Il y a un coup à prendre et ils ne l'avaient pas ! Arthur Lavington, sur une troisième Thruxton, n'a pas eu ce problème, ayant couru sur  Veloces depuis le Clubman's TT de 1949.

Le parcours de Neil Kelly  jusqu'au guidon  d'une Velocette de course spéciale était vraiment excentrique. Reg Orpin, le sponsor de la Thruxton de Kelly, avait engagé Dennis Craine (vainqueur du Manx GP de 65) pour faire courir la machine, mais deux semaines avant la course, lors d'une course locale de Scrambles, Craine avait chuté, avait été heurté par un autre pilote et s'était cassé le bras.... c'est Kelly qui l'a poussé ! Orpin, soudainement sans pilote, a offert à Kelly de piloter  pour  lui au TT.

En vérité, Kelly n'aurait pas dû être autorisé à participer à la course de production, car bien que le 67 était son troisième TT, il n'avait pas complété un seul tour d'essai pour cet événement ! La Thruxton " Production " préparée par Veloce Ltd pour son sponsor, le concessionnaire Velo Reg Orpin, est arrivée en retard. Kelly s'est donc entraîné sur un modèle MSS emprunté, qui avait toutes sortes de problèmes mécaniques, y compris un embrayage qui glissait fortement, ce qui a généré une fabuleuse histoire racontée par tous les amateurs de Velocette ; l'embrayage de Kelly glissait tellement près de Quarry Bends qu'il s'est arrêté et a considéré ses chances d'entraînement comme nulles. Un ancien fermier local, selon la légende, a retiré un clou d'une clôture adjacente, et a ajusté l'embrayage de Kelley ! Mais alors qu'il démarrait le MSS, la voiture " route ouverte ", signalant la fin des essais, est passée devant lui et ses espoirs de faire un tour d'essai complet ont été anéantis. Kelley s'est en fait rendu au travail le samedi suivant, se croyant disqualifié, pour ensuite recevoir un appel téléphonique frénétique de ses stands au déjeuner - s'il pouvait se rendre à la ligne de départ à temps, il pourrait faire la course ! Ses cuirs étaient prêts, la moto avait passé le contrôle technique et était prête à partir. Les amis de Kelly avaient réussi à convaincre Mary Driver, la secrétaire du TT, de l'importance d'avoir un héros local dans la course ; il avait 6 courses Manx à son actif après tout, donc il était peu probable qu'il soit embarrassé ou qu'il représente un danger pour la sécurité. Néanmoins, quelques règles ont été contournées.

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Les règles avaient été plus radicalement contournées par Veloce Ltd en fournissant plusieurs machines de 'Production' aux concessionnaires Reg Orpin (le sponsor de Kelly), Geoff Dodkin (Heckles), et Arthur Lavington, car ces machines utilisaient des moteurs qui avaient été spécialement développés par Veloce dans le but de gagner le TT cette année-là - en espérant rentrer à la maison avec une victoire générale dans le processus. Ces trois machines utilisaient des chambres de combustion " Squish " avec des pistons forgés de forme Spéciale, et les machines Orpin/Dodkin avaient une foule d'améliorations internes, y compris des roulements à aiguilles sur les suiveurs de came -  qui ont tous servi à produire 4,5 ch de plus que la Thruxton standard, selon Bertie Goodman, directeur général de Veloce.

Dans l'épreuve, même avec son départ lamentable, Kelly a facilement remporté la course 500cc avec une moyenne de 89,89 mph, en passant par le piège de vitesse de Ballacraine à 116,9 mph. Keith Heckles sur la machine Dodkin a terminé 2e, avec une quatrième Thruxton (probablement une machine Squish aussi), pilotée par Bob Biscardine, qui a passé le radar à 121.6mph, la machine 500cc la plus rapide de la course.

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Qu'est-ce qui a inspiré Veloce à construire un lot de culasse de course " Squish Head " en 1967 ? Le mérite en revient à Dennis Quinlan d'Australie pour les communications avec l'usine concernant les Velocettes Down Under. Alors que le reste du monde s'était éloigné de Veloce dans la compétition de course sérieuse, il semble que la flamme brûlait encore pour la marque à l'autre bout du monde, et une foule d'ingénieurs très intelligents bricolaient, modifiaient et faisaient courir avec succès leurs Velocettes jusque dans les années 60 et 70. Leur ingéniosité s'étendit jusqu'à des culasses spéciales à DACT pour les moteurs à poussoirs, des cadres légers, des culasses en bronze pour les coureurs plus âgés, et des expériences pour améliorer la combustion et générer plus de puissance à partir de l'article standard.

Trois équipes ont produit indépendamment des Velocettes "Squish Head" en 1964, en utilisant comme modèle des culasses et des pistons Norton Manx d'après 1951. Les tuners australiens ont découvert par essais et erreurs que leurs moteurs produisaient beaucoup plus de puissance, avec une réduction marquée du "pinking" sous charge, un fonctionnement plus froid, moins d'avance à l'allumage, et clairement un processus de combustion beaucoup plus efficace. Quinlan a écrit à Veloce que sa Squish Velo, lorsqu'elle a été testée sur route par son co-constructeur Keith Smith, a obtenu 75 miles par gallon !

Bertie Goodman était un passionné de la course automobile et le cœur battant de tous les succès en compétition chez Veloce Ltd après la guerre. S'il n'avait eu qu'une participation majoritaire au conseil d'administration, les Velocettes de course auraient été présentes sur les pistes de course du monde entier pendant de nombreuses années après 1953, lorsque l'usine a abandonné tout soutien à la course, pour se concentrer sur leur humble modèle "LE". C'est Bertie qui a soutenu l'incroyable record du monde des 24 heures aux 100 mph avec une Venom 500cc à Montlhery en 1961 (qui est toujours une 500cc simple, d'ailleurs), ainsi que la tentative avec un modèle Viper 350cc au même record. Bertie a également inauguré le modèle Thruxton, après avoir jeté un coup d'oeil à quelques culasses spéciales de préparateurs américains et réalisé le potentiel d'un excellent coureur de Clubman, ou Café Racer !

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Ainsi, c'est la correspondance loyale de Dennis Quinlan (ci-dessus, à gauche, avec Keith Smith en 1964) avec l'usine au sujet de ses efforts de réglage qui a fixé l'ambition de Bertie sur une victoire au TT de production. La Thruxton était déjà rapide, produisant 8 ch de plus que le modèle Venom Clubman ; un supplément de 4,5 ch donnerait un avantage encore plus grand à l'Island. Les Velocettes avaient déjà prouvé leur fiabilité avec leur succès aux 100mph/24h, ainsi que des victoires en 12 et 24 heures d'Endurance à Barcelone, et bien sûr sur le circuit de course de l'aérodrome éponyme du Thruxton. Alors que les culasses Squish australiennes étaient loin, les culasses Norton Manx étaient certainement disponibles pour inspection, et Goodman avait des pistons spéciaux forgés selon le modèle Norton, qui s'adaptaient aux culasses Thruxton modifiées.
Il semble clair que deux moteurs ont été fortement développés avec de nombreuses modifications internes comme indiqué ci-dessus ; celles-ci sont allées à Reg Orpin et Geoff Dodkin. Entre 5 et 10 autres moteurs Thruxton ont été modifiés avec le 'Squish', bien que moins fortement modifiés. Ces moteurs ont été vendus à des amis choisis de l'usine, des coureurs de longue date ou des concessionnaires qui commanditaient les pilotes de Velocettes.

L'un de ces moteurs a été vendu à Arthur Lavington, légendaire pilote Velocette, le dernier homme à avoir couru en Grand Prix avec un MkVIII KTT, qui est en fait décédé lors des essais du Production TT 1969, lorsqu'il a été heurté par un autre pilote et que sa Thruxton a heurté un mur de pierre. Il a certainement utilisé un moteur Squish dans sa machine de course de 67 - dont le moteur était un VMT 816RC. Une photo de ce moteur est présentée ci-dessous.

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Traduit avec [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (version gratuite)

Source : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


1967  année charnière ... les 60 ans du TT( Diamond  jubilée )

2027  les 120 ans du TT ( double Diamond jubilée) que l'on peu le réduire  à 227 soit le code Pi (22/7) ...

J'ai prévu une tite bouteille pour la baptiser ce jour là ...  ce sera le 22 /07 / 2027


Fb sans prétention

Merci Rolling

Merci Rolling ! Super récit !

Bon je vais l'imprimer pour le lire dans le train...

Ben, bravo et merci Rolling !
Comme dit Denis, y a de quoi lire .

RollingXT a écrit:

J'ai prévu une tite bouteille pour la baptiser ce jour là ...  

Fb sans prétention

Pffffffffffffffffffff.. tu projettes  loin... houlalalalalala... t'as confiance dis donc.. ha ha ha ha ..
Faut des projets qu'on dit... j'peux pas être contre... faut occuper l' temps libre !

Arv' ésotér'hic  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Il leur fallait bien quelques aménagements
... administratifs, aux rossbifs . Sinon en
67 déjà ils avaient du mal à exister !

Ça me rappelle que chez nous (oui, en
France) les CB 450 ont longtemps été
interdites en course !?!?!? ...

Merci Rolling, ça me rajeunit bien, tout ça .

Excellent, merci Rolling !

Je suis abonné a la missive de Paul d'Orleans depuis déja quelques temps et l'on y découvre pas mal de petits trésors.

Ton traducteur semble trés bon, il faut que je l'essaye absolument, et ce sera encore un outil g....e en moins utilisé !

J'ai eu la chance d'entendre tourner cette incroyable machine hier soir à Rétromobile, voila une courte vidéo.
Celle-ci n'est pas fidèle à la sonorité incroyable de ce moteur, le son est filtré par le micro du téléphone. En fait les échappements presque libres claquent fort et sur un ton beaucoup plus grave, qui prend aux tripes, avec de belles flammes quand il joue avec l'avance...
Un régal à écouter et à voir tourner, avec toute la distribution à l'air libre !
Chapeau l'artiste !

Je te comprend ! Je l'ai vu rouler au Montlhery Vintage Revival.

Réunion que je conseil à tous !

A partir de  6'09

'taiiiin le nombre d'Alfa et de Bugatti !

t'as pas vu Ze single ?

c'est extraordinaire, on se croirait à Goodwood en plus français !!!

c'est tous les 2 ans ? nan ?

oui le prochain c'est 2021 !

YAMACO a écrit:
t'as pas vu Ze single ?

Ben non ! mais y avait du monde !

YAMACO a écrit:
c'est extraordinaire, on se croirait à Goodwood en plus français !!!  

Oui c'est ça  Super ambiance, vraiment entre passionnés !

YAMACO a écrit:
c'est tous les 2 ans ? nan ?

Oui c'est ça !

j'y suis allé le dimanche, un temps formidable, pas comme le samedi !!!

un gus essayait de trouver quelle  bougie ne donnait pas sur son moteur 8 cylindres en ligne, avec un thermomètre digitale ... incroyable... !!

le mec a une vraie Bugatti, (à whatmille boules), et il n'avait que des bougies pourraves, avec differentes longueur de culot, et aux indices thermiques portninwouak

les boardtrackers ont roulés sur piste seche... impressionnant !

as-tu vu un 3 roues fait dans un réservoirs largable de carburant de Mosquito ???
mu par un Triumph 500 cc culasse inversée....... à compresseur
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taillé dans un turc improbable comme ça !
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YAMACO a écrit:'taiiiin
c'est extraordinaire, on se croirait à Goodwood en plus français !!!

tu veux dir eque le gazon est moins bien taillé??

ça a l'air bonnard ouaip en tout cas...!

C'est pas ce qu'on appelait les Journées de Linas, avant?