Jusqu'à 2 millions de tonnes de fondant par an !!!

Le sel... chlorure de sodium.... y'en a d' partout sur les routes... en grande quantité... de trop ... une simple balade à moto et la bécane est pourrie... il faut rincer principalement le dessous et ailleurs puis avec minutie... essuyer ... sinon pourrissage total par corrosion insidieuse... le faites-vous ?

ARVELLA a écrit:Le sel... chlorure de sodium.... y'en a d' partout sur les routes... en grande quantité... de trop ... une simple balade à moto et la bécane est pourrie... il faut rincer principalement le dessous et ailleurs puis avec minutie... essuyer ... sinon pourrissage total par corrosion insidieuse... le faites-vous ?

Le sel (systeme d'échange local ?) ca esquinte les fourreaux de fourche ! Ca les mine (de sel) ! La fourche c'est Gabel en allemand... et la gabelle c'est pire que la taille ! le sel, gemme, surtout s'il est de gay rang 2.


Bon t'façon tu peux rincer ce que tu veux, y'a des recoins d'où tu n'ôteras jamais le vilain NaCl... Exemple typique, je connais une bande de loustics qui allaient faire les idiots sur les plages l'hiver, hop la flotte rentre dans les roues, si si DANS les roues, par les têtes de rayons, ça s'accumule sous le fond de jante, on laisse mariner ça quelque mois et on se retrouve avec une corrosion rigolote, ça fait comme quand les bestioles bouffent les poutres en bois,y'a des espèces de tunnels dans l'alu, quand on casse la paroi c'est de la poussière à l'intérieur... comme nous tous dans un futur plus ou moins proche, on naît peudchoz et on le reste...

je confirme pour les jantes alu, j'en ai vu des pareilles.

Dito pour les boulons de fixation du cylindre.

Sinon, en ce qui me concerne, je ne me casse pas la tête à laver. Le dernier cadre de vélo (acier) a laché après une bonne dizaine d'années.
Le nouveau est en alu. On verra si ca tient aussi longtemps.

jeanjean

Oui, mais s'il n'y avait pas de sel sur les routes en hiver, on ne pourrait pas rouler !!! Alors hein !!!

  

C'est bien vrai ça...

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Par Marcel Robert

Le scandale du salage des routes



Le salage des routes est un véritable scandale écologique et économique, très peu abordé dans les médias officiels, qui traitent chaque hiver la question sous l’angle « sécurité des automobilistes » en allant interviewer le technicien de service de telle ou telle DDE.

Salage des routes : un véritable scandale économique et écologique

Comment croire que ces salages intensifs et massifs en période hivernale, tout particulièrement lors des hivers très neigeux, n’ont pas de conséquences sur l’environnement?

Tout d’abord, quelques chiffres pour prendre conscience des enjeux: sur l’ensemble du territoire métropolitain, la consommation de sel pour le déneigement des routes atteint 750.000 tonnes, effectuée en majorité sur une période de dix jours, et pour la plus grande part, en zone de montagne. Il s’agit là de chiffres moyens, qui peuvent atteindre 1 à 1,5 millions de tonnes lors des « gros hivers » comme celui de 2004 par exemple, particulièrement neigeux en France. En Suisse, 106.000 tonnes de sel ont été déversées sur les routes pour le seul mois de février 2005 !

En campagne et en montagne, tout ce sel se retrouve lessivé dans les torrents et rivières voisins.

Quelles sont les conséquences du sel pour l’environnement?

Une étude du Certu a pu montrer que sur le département du Nord-Pas-de-Calais, l’impact principal sur la pollution des sols vient du salage hivernal. Les effets du sel par infiltrations dans les sols sont certainement néfastes pour les nappes phréatiques.

De plus, la pénétration du sel dans les sols peut réduire leur perméabilité. Pour la flore, le sel est un facteur aggravant de dépérissement des arbres et des plantes confondus… Par extension, la faune est aussi touchée si elle s’abreuve dans les ruissellements d’eau ou si elle se nourrit des végétaux à proximité des épandages de sel.

L’entretien des routes conduit à l’utilisation de produits phytosanitaires. Le sel de salage des routes contient des traces de métaux lourds, en quantités infimes mais tout de même répertoriées (brome, additifs…), ce qui cause une pollution saisonnière en hiver. Ces diverses substances polluent et dégradent les milieux et provoquent souvent la disparition d’espèces.

Le sel (chlorure de sodium), ainsi que les métaux lourds, se retrouvent ainsi de manière brutale en quantités massives dans l’environnement. Les conséquences sont donc majeures pour les cultures situées près des routes, pour les cours d’eau (qui récupèrent le tout après lessivage des sols), pour les sols et les nappes phréatiques ainsi que pour les espèces aquatiques. L’épandage intensif de sel sur les infrastructures routières s’avère donc être un élément de stress pour l’écosystème environnant.

Egalement, le sel provoque la corrosion des métaux, avec des conséquences plus spécifiquement visibles en milieu urbain, pour le bonheur des garagistes. Enfin, il provoque une pollution visuelle et esthétique, la route devenant sale et la neige se transformant en boue.

Le coût économique du salage des routes

Sur le plan économique, il faut savoir qu’une tonne de sel coûte près de 100 euros ! Avec un épandage moyen de 750.000 tonnes durant l’hiver en France, c’est donc environ 75 millions d’euros par hiver qui sont « jetés dans les rues »… Et encore, ce coût ne concerne que l’achat du sel et ne prend pas en compte l’achat des matériels, le coût de l’essence et les salaires des ouvriers!

Ces conséquences de la société de l’automobile, souvent peu abordées, existent seulement pour que les automobilistes puissent continuer à rouler quelles que soient les conditions climatiques!

En outre, l’argument de la « nécessaire sécurité » des automobilistes ne tient pas… la route! En Norvège, en Suède (pays proches de l’équateur comme chacun sait), on pratique la politique de la « route blanche »… pas de calcium, pas de potasse, les conducteurs s’adaptent et mettent des chaînes. En outre, on parvient à rouler plus vite et plus sûrement sur route enneigée que sur « soupe saline en perpétuelle surfusion ».

.... bon personne ne lave sa moto ... personne ne sort en hiver "salé" ... bon j'vais la tremper dans du Degrip'oil ça la protégera... épicétou

Ici, on est des petits joueurs, l'hiver, donc dimanche dernier, il faisait 15°   et le repas de la balade dominicale s'est fait dehors : les escargots a la catalane et les anchois étaient excellents ! :geek: 

Par contre, mon joli SR, il à été acheté neuf a Grenoble.... Et il a pas mal roulé là-bas dans les premières heures de sa vie.....
Les carters en alu, la fourche en ont subi les outrages...Mais ici, avec un peu de patience, on est grosso-modo parvenu a lui redonner son lustre  8) d'antan ....Comme on dit !

pop a écrit:Oui, mais s'il n'y avait pas de sel sur les routes en hiver, on ne pourrait pas rouler !!! Alors hein !!!

  

Euh, c'est quoi les autres saisons à part l'hiver   

MadpaxtAuNordDuNordDeLaFrance   

ARVELLA a écrit:Par Marcel Robert

Le scandale du salage des routes



Le salage des routes est un véritable scandale écologique et économique, très peu abordé dans les médias officiels, qui traitent chaque hiver la question sous l’angle « sécurité des automobilistes » en allant interviewer le technicien de service de telle ou telle DDE.

Salage des routes : un véritable scandale économique et écologique

Comment croire que ces salages intensifs et massifs en période hivernale, tout particulièrement lors des hivers très neigeux, n’ont pas de conséquences sur l’environnement?

Tout d’abord, quelques chiffres pour prendre conscience des enjeux: sur l’ensemble du territoire métropolitain, la consommation de sel pour le déneigement des routes atteint 750.000 tonnes, effectuée en majorité sur une période de dix jours, et pour la plus grande part, en zone de montagne. Il s’agit là de chiffres moyens, qui peuvent atteindre 1 à 1,5 millions de tonnes lors des « gros hivers » comme celui de 2004 par exemple, particulièrement neigeux en France. En Suisse, 106.000 tonnes de sel ont été déversées sur les routes pour le seul mois de février 2005  !

En campagne et en montagne, tout ce sel se retrouve lessivé dans les torrents et rivières voisins.

Quelles sont les conséquences du sel pour l’environnement?

Une étude du Certu a pu montrer que sur le département du Nord-Pas-de-Calais, l’impact principal sur la pollution des sols vient du salage hivernal. Les effets du sel par infiltrations dans les sols sont certainement néfastes pour les nappes phréatiques.

De plus, la pénétration du sel dans les sols peut réduire leur perméabilité. Pour la flore, le sel est un facteur aggravant de dépérissement des arbres et des plantes confondus… Par extension, la faune est aussi touchée si elle s’abreuve dans les ruissellements d’eau ou si elle se nourrit des végétaux à proximité des épandages de sel.

L’entretien des routes conduit à l’utilisation de produits phytosanitaires. Le sel de salage des routes contient des traces de métaux lourds, en quantités infimes mais tout de même répertoriées (brome, additifs…), ce qui cause une pollution saisonnière en hiver. Ces diverses substances polluent et dégradent les milieux et provoquent souvent la disparition d’espèces.

Le sel (chlorure de sodium), ainsi que les métaux lourds, se retrouvent ainsi de manière brutale en quantités massives dans l’environnement. Les conséquences sont donc majeures pour les cultures situées près des routes, pour les cours d’eau (qui récupèrent le tout après lessivage des sols), pour les sols et les nappes phréatiques ainsi que pour les espèces aquatiques. L’épandage intensif de sel sur les infrastructures routières s’avère donc être un élément de stress pour l’écosystème environnant.

Egalement, le sel provoque la corrosion des métaux, avec des conséquences plus spécifiquement visibles en milieu urbain, pour le bonheur des garagistes. Enfin, il provoque une pollution visuelle et esthétique, la route devenant sale et la neige se transformant en boue.

Le coût économique du salage des routes

Sur le plan économique, il faut savoir qu’une tonne de sel coûte près de 100 euros  ! Avec un épandage moyen de 750.000 tonnes durant l’hiver en France, c’est donc environ 75 millions d’euros par hiver qui sont « jetés dans les rues »… Et encore, ce coût ne concerne que l’achat du sel et ne prend pas en compte l’achat des matériels, le coût de l’essence et les salaires des ouvriers!

Ces conséquences de la société de l’automobile, souvent peu abordées, existent seulement pour que les automobilistes puissent continuer à rouler quelles que soient les conditions climatiques!

En outre, l’argument de la « nécessaire sécurité » des automobilistes ne tient pas… la route! En Norvège, en Suède (pays proches de l’équateur comme chacun sait), on pratique la politique de la « route blanche »… pas de calcium, pas de potasse, les conducteurs s’adaptent et mettent des chaînes. En outre, on parvient à rouler plus vite et plus sûrement sur route enneigée que sur « soupe saline en perpétuelle surfusion ».

Bon il a raison Marcel, ou Robert, je suis pas sûr pour le prénom. Par contre il cause comme un gougnafier : "quantités massives" ça veut rien dire, toutes les quantités ont une masse, c'est un anglicisme, en français on dit de grandes quantités. "une pollution saisonnière en hiver" et "ces substances polluent et dégradent", tout comme "une pollution visuelle et esthétique" sont d'abominables pléonasmes.
Quand à "un élément de stress pour l’écosystème environnant" c'est un infâme charabia ridicule pour dire que ça esquinte la nature.

C'est dommage que les gens se sentent obligés de faire ce genre de sabir ridicule, journalistico-scientifico-méktalèrkonkoko, sans doute par peur de n'être pas crédibles s'ils parlaient normalement. Je trouve que c'est tout le contraire.

Et pour les frites, si il n'y avait pas le sel....

ARVELLA a écrit:....  bon personne ne lave sa moto ... personne ne sort en hiver "salé" ... bon j'vais la  tremper dans du Degrip'oil ça la protégera... épicétou

Euh tu connais un peu la Normandie!!!il y a plus souvent de l'eau que du sel!!! ça rince!

Bonsoir, et pourtant il y a des millions de terriens qui vont se baigner les uns sur les autres dans la mer (ou l'océan) , salés a mort c'est carrement dégeu     

2J4 000697 a écrit:...   sabir ridicule ...

... meu non.. le gars est en colère ... il veut en mettre et en remettre...  il en fait des tonnes koa... et bégaye du clavier...    ha ha ha ha ... toi tu t'en fous ... dans l'sud ça rouille beaucoup moins... mais ici tu finis avec des croutes de sel en plaque sur les tibias et l' bas ventre de la bécane se trouve ravagé par la rouille en moins de deux ...  enfin bon... je vois qu' l' cœur du sujet est abandonné pour la forme...  ha ha ha ...  bof .. ça fait un peu d'animation quand même... hein... bof ...

papy1000 watts a écrit:


plus souvent de l'eau que du sel!!! ça rince!

.. ben non...  ça rince pas... nan nan nan nan ....   et chuis entrain d' nettoyer ce dosage infecte collé d'partout  .. pffffffffff   ... !

Et les gens qui roulent à Bonneville, ils font comment après ?


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Oui, mais là c'est un mauvais exemple.

même sans sel, un Décati perd ses pièces tout seul...