[FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
Tiens bon Tryphon!
BRIO- très proche des étoiles !
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
Et la tête haute tu sortiras
navis- t'es un pilier !
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
Tryphon, tu sais nous en avons deja parlés ensemble, n'hesites pas a nous contacter si tu as besoin d'infos pour faire valoir tes droits.
Christine est maintenant au taquét sur ce sujet ainsi que pour le "mixage" avec la retraite
Christine est maintenant au taquét sur ce sujet ainsi que pour le "mixage" avec la retraite
Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
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"syndrome d'épuisement professionnel et souffrance au travail"
... p't'1 j'connaissais pas ça... c'est fou ça ! ... c'est civilisationnel cette affaire... hein... comme tout va trop vite en tout et partout ... quand les freins sont défectueux ou peu performants fatalement à force de prendre d' la vitesse surtout en descente.. tu t'étales... ça m'a fait ça en trial... trop souvent... j'ai arrêté la Bultaco... pour le reste aussi d'ailleurs, j'ai arrêté.. après la lecture en 1883 du bouquin "Le Droit à la paresse" ... l’expérience venant confirmer , dès la naissance, qu' prendre la tangente était d' rigueur .. et au plus vite.. ha ha ha ... ensuite bien plus grand.. ben oui faut l'tenir debout ce "Rien" ... c'est pas donné à tout l'monde... heureusement qu' Cioran passait par là.. il a kärcherisé les dernières hésitations... et pas qu'un peu.. vouiiii... trois textes et puis s'en va !
L' Automate
Je respire par préjugé. Et je contemple le spasme des idées, tandis que le Vide se sourit à lui-même… Plus de sueur dans l’espace, plus de vie ; la moindre vulgarité la fera reparaître : une seconde d’attente suffit. Quand on se perçoit exister on éprouve la sensation d’un dément émerveillé qui surprend sa propre folie et cherche en vain à lui donner un nom. L’habitude émousse notre étonnement d’être : nous sommes – et passons outre, nous recouvrons notre place dans l’asile des existants. Conformiste, je vis, j’essaye de vivre, par imitation, par respect pour les règles du jeu, par horreur de l’originalité. Résignation d’automate : affecter un semblant de ferveur et en rire secrètement ; ne se plier aux conventions que pour les répudier en cachette ; figurer dans tous les registres, mais sans résidence dans le temps ; sauver la face alors qu’il serait préférable de la perdre… Celui qui méprise tout doit assumer un air de dignité parfait, induire en erreur les autres et jusqu’à soi-même : il accomplira ainsi plus aisément sa tâche de faux vivant. A quoi bon étaler sa déchéance lorsqu’on peut feindre la prospérité ? L’enfer manque de manières : c’est l’image exaspérée d’un homme franc et malappris, c’est la terre conçue sans aucune superstition d’élégance et de civilité. J’accepte la vie par politesse : la révolte perpétuelle est de mauvais goût comme le sublime suicide. A vingt ans on fulmine contre les cieux et l’ordure qu’ils couvrent ; puis on s’en lasse. La pose tragique ne sied qu’à une puberté prolongée et ridicule ; mais il faut milles épreuves pour en arriver à l’histrionisme du détachement. Celui qui, émancipé de tous les principes de l’usage, ne disposerait d’aucun don de comédien, serait l’archétype de l’infortune, l’être idéalement malheureux. Inutile de construire ce modèle de franchise : la vie n’est tolérable que par le degré de mystification que l’on y met. Un tel modèle serait la ruine subite de la société, la « douceur » de vivre en commun résidant dans l’impossibilité de donner libre cours à l’infini de nos arrière-pensées. C’est parce que nous sommes tous des imposteurs que nous nous supportons les uns les autres. Tel qui n’accepterait pas de mentir verrait la terre fuir sous ses pieds : nous sommes biologiquement astreints au faux. Point de héros moral qui ne soit ou puéril, ou inefficace, ou non-authentique ; car la vraie authenticité est la souillure dans la fraude, dans les bienséances de la flatterie publique et de la diffamation secrète. Si nos semblables pouvaient prendre acte de nos opinions sur eux, l’amour, l’amitié le dévouement seraient à jamais rayés des dictionnaires ; et si nous avions le courage de regarder en face les doutes que nous concevons timidement sur nous-mêmes, aucun de nous ne proférerait un « je » sans honte. La mascarade entraîne tout ce qui vit, depuis le troglodyte jusqu’au septique. Comme le respect des apparences nous sépare seul des charognes, c’est périr que de fixer le fond des choses et des êtres ; tenons-nous-en à un plus agréable néant : notre constitution ne tolère qu’une certaine dose de vérité… Gardons au plus profond de nous une certitude supérieure à toutes les autres : la vie n’a pas de sens, elle ne peut en avoir. Nous devrions nous tuer sur le coup si une révélation imprévue nous persuadait du contraire. L’air disparu, nous respirerions encore ; mais nous étoufferions aussitôt si on nous enlevait la joie de l’inanité"
L’Architecte des Cavernes….
La théologie, la morale, l’histoire et l’expérience de tous les jours nous apprennent que pour atteindre à l’équilibre il n’y a pas une infinité de secrets ; il n’y en a qu’un : se soumettre. " Acceptez un joug, nous répètent-elles, et vous serez heureux ; soyez quelque chose, et vous serez délivrés de vos peines. " En effet, tout est métier ici-bas : professionnels du temps, fonctionnaires de la respiration, dignitaires de l’espérance, un poste nous attend avant de naître : nos carrières se préparent dans les entrailles de nos mères. Membres d’un univers officiel, nous devons y occuper une place, par le mécanisme d’un destin rigide, qui ne se relâche qu’en faveur des fous ; eux, au moins, ne sont pas astreints à avoir une croyance, à adhérer à une institution, à soutenir une idée, à poursuivre une entreprise. Depuis que la société s’est constituée, ceux qui voulurent s’y soustraire furent persécutés ou bafoués. On vous pardonne tout, pourvu que vous ayez un métier, un sous-titre à votre nom, un sceau sur votre néant. Personne n’a l’audace de s’écrier : " je ne veux rien faire " ; – on est plus indulgent à l’égard d’un assassin que d’un esprit affranchi des actes. Multiplier les possibilités de se soumettre, abdiquer sa liberté, tuer le vagabond en soi, c’est ainsi que l’homme a raffiné son esclavage et s’est inféodé aux fantômes. Même ses mépris et ses rébellions, il ne les a cultivés que pour en être dominé, serf qu’il est de ses attitudes, de ses gestes et de ses humeurs. Sorti des cavernes il en a gardé la superstition ; il était leur prisonnier, il en est devenu l’architecte. Il perpétue sa condition primitive avec plus d’invention et de subtilité ; mais au fond, grossissant ou amenuisant sa caricature , il se plagie effrontément. Charlatan à bout de ficelles, ses contorsions, ses grimaces font encore illusion…
Les hommes travaillent généralement trop pour pouvoir encore rester eux-mêmes. Le travail : une malédiction que l’homme a transformée en volupté. Œuvrer de toutes ses forces pour le seul amour du travail, tirer de la joie d’un effort qui ne mène qu’à des accomplissements sans valeur, estimer qu’on ne peut se réaliser autrement que par le labeur incessant — voilà une chose révoltante et incompréhensible. Le travail permanent et soutenu abrutit, banalise et rend impersonnel. Le centre d’intérêt de l’individu se déplace de son milieu subjectif vers une fade objectivité ; l’homme se désintéresse alors de son propre destin, de son évolution intérieure, pour s’attacher à n’importe quoi : l’œuvre véritable, qui devrait être une activité de permanente transfiguration, est devenue un moyen d’extériorisation qui lui fait quitter l’intime de son être. Il est significatif que le travail en soit venu à désigner une activité purement extérieure : aussi l’homme ne s’y réalise-t-il pas — il réalise.
K2000 a écrit:Ben mes pauv' vieux, z'êtes pas dans la merde
"syndrome d'épuisement professionnel et souffrance au travail"
... p't'1 j'connaissais pas ça... c'est fou ça ! ... c'est civilisationnel cette affaire... hein... comme tout va trop vite en tout et partout ... quand les freins sont défectueux ou peu performants fatalement à force de prendre d' la vitesse surtout en descente.. tu t'étales... ça m'a fait ça en trial... trop souvent... j'ai arrêté la Bultaco... pour le reste aussi d'ailleurs, j'ai arrêté.. après la lecture en 1883 du bouquin "Le Droit à la paresse" ... l’expérience venant confirmer , dès la naissance, qu' prendre la tangente était d' rigueur .. et au plus vite.. ha ha ha ... ensuite bien plus grand.. ben oui faut l'tenir debout ce "Rien" ... c'est pas donné à tout l'monde... heureusement qu' Cioran passait par là.. il a kärcherisé les dernières hésitations... et pas qu'un peu.. vouiiii... trois textes et puis s'en va !
L' Automate
Je respire par préjugé. Et je contemple le spasme des idées, tandis que le Vide se sourit à lui-même… Plus de sueur dans l’espace, plus de vie ; la moindre vulgarité la fera reparaître : une seconde d’attente suffit. Quand on se perçoit exister on éprouve la sensation d’un dément émerveillé qui surprend sa propre folie et cherche en vain à lui donner un nom. L’habitude émousse notre étonnement d’être : nous sommes – et passons outre, nous recouvrons notre place dans l’asile des existants. Conformiste, je vis, j’essaye de vivre, par imitation, par respect pour les règles du jeu, par horreur de l’originalité. Résignation d’automate : affecter un semblant de ferveur et en rire secrètement ; ne se plier aux conventions que pour les répudier en cachette ; figurer dans tous les registres, mais sans résidence dans le temps ; sauver la face alors qu’il serait préférable de la perdre… Celui qui méprise tout doit assumer un air de dignité parfait, induire en erreur les autres et jusqu’à soi-même : il accomplira ainsi plus aisément sa tâche de faux vivant. A quoi bon étaler sa déchéance lorsqu’on peut feindre la prospérité ? L’enfer manque de manières : c’est l’image exaspérée d’un homme franc et malappris, c’est la terre conçue sans aucune superstition d’élégance et de civilité. J’accepte la vie par politesse : la révolte perpétuelle est de mauvais goût comme le sublime suicide. A vingt ans on fulmine contre les cieux et l’ordure qu’ils couvrent ; puis on s’en lasse. La pose tragique ne sied qu’à une puberté prolongée et ridicule ; mais il faut milles épreuves pour en arriver à l’histrionisme du détachement. Celui qui, émancipé de tous les principes de l’usage, ne disposerait d’aucun don de comédien, serait l’archétype de l’infortune, l’être idéalement malheureux. Inutile de construire ce modèle de franchise : la vie n’est tolérable que par le degré de mystification que l’on y met. Un tel modèle serait la ruine subite de la société, la « douceur » de vivre en commun résidant dans l’impossibilité de donner libre cours à l’infini de nos arrière-pensées. C’est parce que nous sommes tous des imposteurs que nous nous supportons les uns les autres. Tel qui n’accepterait pas de mentir verrait la terre fuir sous ses pieds : nous sommes biologiquement astreints au faux. Point de héros moral qui ne soit ou puéril, ou inefficace, ou non-authentique ; car la vraie authenticité est la souillure dans la fraude, dans les bienséances de la flatterie publique et de la diffamation secrète. Si nos semblables pouvaient prendre acte de nos opinions sur eux, l’amour, l’amitié le dévouement seraient à jamais rayés des dictionnaires ; et si nous avions le courage de regarder en face les doutes que nous concevons timidement sur nous-mêmes, aucun de nous ne proférerait un « je » sans honte. La mascarade entraîne tout ce qui vit, depuis le troglodyte jusqu’au septique. Comme le respect des apparences nous sépare seul des charognes, c’est périr que de fixer le fond des choses et des êtres ; tenons-nous-en à un plus agréable néant : notre constitution ne tolère qu’une certaine dose de vérité… Gardons au plus profond de nous une certitude supérieure à toutes les autres : la vie n’a pas de sens, elle ne peut en avoir. Nous devrions nous tuer sur le coup si une révélation imprévue nous persuadait du contraire. L’air disparu, nous respirerions encore ; mais nous étoufferions aussitôt si on nous enlevait la joie de l’inanité"
L’Architecte des Cavernes….
La théologie, la morale, l’histoire et l’expérience de tous les jours nous apprennent que pour atteindre à l’équilibre il n’y a pas une infinité de secrets ; il n’y en a qu’un : se soumettre. " Acceptez un joug, nous répètent-elles, et vous serez heureux ; soyez quelque chose, et vous serez délivrés de vos peines. " En effet, tout est métier ici-bas : professionnels du temps, fonctionnaires de la respiration, dignitaires de l’espérance, un poste nous attend avant de naître : nos carrières se préparent dans les entrailles de nos mères. Membres d’un univers officiel, nous devons y occuper une place, par le mécanisme d’un destin rigide, qui ne se relâche qu’en faveur des fous ; eux, au moins, ne sont pas astreints à avoir une croyance, à adhérer à une institution, à soutenir une idée, à poursuivre une entreprise. Depuis que la société s’est constituée, ceux qui voulurent s’y soustraire furent persécutés ou bafoués. On vous pardonne tout, pourvu que vous ayez un métier, un sous-titre à votre nom, un sceau sur votre néant. Personne n’a l’audace de s’écrier : " je ne veux rien faire " ; – on est plus indulgent à l’égard d’un assassin que d’un esprit affranchi des actes. Multiplier les possibilités de se soumettre, abdiquer sa liberté, tuer le vagabond en soi, c’est ainsi que l’homme a raffiné son esclavage et s’est inféodé aux fantômes. Même ses mépris et ses rébellions, il ne les a cultivés que pour en être dominé, serf qu’il est de ses attitudes, de ses gestes et de ses humeurs. Sorti des cavernes il en a gardé la superstition ; il était leur prisonnier, il en est devenu l’architecte. Il perpétue sa condition primitive avec plus d’invention et de subtilité ; mais au fond, grossissant ou amenuisant sa caricature , il se plagie effrontément. Charlatan à bout de ficelles, ses contorsions, ses grimaces font encore illusion…
Les hommes travaillent généralement trop pour pouvoir encore rester eux-mêmes. Le travail : une malédiction que l’homme a transformée en volupté. Œuvrer de toutes ses forces pour le seul amour du travail, tirer de la joie d’un effort qui ne mène qu’à des accomplissements sans valeur, estimer qu’on ne peut se réaliser autrement que par le labeur incessant — voilà une chose révoltante et incompréhensible. Le travail permanent et soutenu abrutit, banalise et rend impersonnel. Le centre d’intérêt de l’individu se déplace de son milieu subjectif vers une fade objectivité ; l’homme se désintéresse alors de son propre destin, de son évolution intérieure, pour s’attacher à n’importe quoi : l’œuvre véritable, qui devrait être une activité de permanente transfiguration, est devenue un moyen d’extériorisation qui lui fait quitter l’intime de son être. Il est significatif que le travail en soit venu à désigner une activité purement extérieure : aussi l’homme ne s’y réalise-t-il pas — il réalise.
ARVELLA- pas trop seul là haut ?
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
j'ai pas tout lu, mais je retiens l'idée que la retraite se passe mieux en Ducati ..
c'est çà..?
allez mon tryphon, débarrasses toi de tes zonda et achètes une zitalienne ..!!
den's
c'est çà..?
allez mon tryphon, débarrasses toi de tes zonda et achètes une zitalienne ..!!
den's
den's- tu ne t'enrhumes pas là haut ?
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JP26- persévère !
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
C'est signé:
- sortie des effectifs au 01/01/2022.
- sortie des effectifs au 01/01/2022.
tryphon- t'es un pilier !
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1R7- pas trop seul là haut ?
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
ohh
une nouvelle route se présente....
une nouvelle route se présente....
navis- t'es un pilier !
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Phil 421- les jeunes te doivent le respect !
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
Welcom !
YAMACO- pas trop seul là haut ?
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
Cool, content pour toi
... moi aussi, au 01/01/2022
... moi aussi, au 01/01/2022
1R7- pas trop seul là haut ?
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
Et qu'est ce que l'on dit a ceux qui continuent a bosser pour payer?????
papy1000watts- pas trop seul là haut ?
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
Ah super nouvelle Tryphon, content pour toi!
T'occupe pas de Papy, il est jaloux!
Bon du coup en 2022 tu viens nous voir sur tous les circuits!
Bizz
T'occupe pas de Papy, il est jaloux!
Bon du coup en 2022 tu viens nous voir sur tous les circuits!
Bizz
denis600SR- pas trop seul là haut ?
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
Bravo ! Tu l as bien mérité !!!!
philxp- t'es un pilier !
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
Tryphon et MX Steph, le bout du tunnel est en vue vous allez enfin commencer à travailler sérieusement
Fait chier, je viens de regarder pour moi...pas avant 65 et 9 mois
T.
Fait chier, je viens de regarder pour moi...pas avant 65 et 9 mois
T.
Trusty- maintenant la route du nirvana !
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
Ben oui, comme t'es jeune...
Tryphon, bien joué!
Tryphon, bien joué!
BRIO- très proche des étoiles !
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
J'ai un peu de temps devant moi avant de m'inquiéter pour la suite, j'ai 18 mois de couverture garantie jusqu'au 01/07/2023.
Soit 60 ans.
Il n'est pas encore écrit que je ne travaillerai plus. J'ai plusieurs choses en cours : CPAM, carsat et médecine du travail.
Les prochains recules de la réforme des retraites fixent mon âge de départ à la retraite en 2028 à 65 ans.
Soit 60 ans.
Il n'est pas encore écrit que je ne travaillerai plus. J'ai plusieurs choses en cours : CPAM, carsat et médecine du travail.
Les prochains recules de la réforme des retraites fixent mon âge de départ à la retraite en 2028 à 65 ans.
tryphon- t'es un pilier !
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
Ah oui, c'est pas gagné...
BRIO- très proche des étoiles !
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
Bienvenue quand même au Club
PERCOT- maintenant la route du nirvana !
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
Bien engagé, tout est dans les bonnes cases, dans le bon timing.BRIO a écrit:Ah oui, c'est pas gagné...
L'essentiel est que je commence à retrouver le sommeil réparateur, tant attendu depuis deux ans, et tout ce que cela apporte en santé.
tryphon- t'es un pilier !
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
Cool!
Je suis bien content pour toi!
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BRIO- très proche des étoiles !
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
TAIS TOI ET BOOOSSSSSE!!!!!!!!!papy1000watts a écrit:Et qu'est ce que l'on dit a ceux qui continuent a bosser pour payer?????
mitou- te voilà un initié !
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
tryphon a écrit:Je serai libéré de mes obligations professionnelles fin 2021.
J'aurai tout mon temps en 2022.
c'est une superbe nouvelle !! j'espère que pré-retraite pourrait etre envisagée ?
Perso, déjà 4 semaines et le temps passe très vite.
A la maison, plus rien n'est en retard, je donne même du temps au temps et madame n'a plus à me répéter les choses ... car elles sont faites.
Perso, j'ai découvert le plaisir d'être à la maison 7 nuits par semaine.... j'étais à 3 maxi depuis 25 ans...
Bravo et tant mieux pour toi.
Une fin d'année heureuse !!!
FAGEY- t'es un pilier !
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ARVELLA- pas trop seul là haut ?
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
Quelques nouvelles:
Plus trop de temps pour papoter avec vous.
Petit rappel: j'étais sans boulot et j'ai retrouvé du travail en CDD depuis le 12 Avril et je viens de signer un CDI à temps partiel 80% à partir du 1 janvier 2024.
Ce qui me permettra, si ca ne change plus, de partir à la retraite dans 3 ans, en novembre 2026, soit à 63 ans et 9 mois.
De plus je suis éligible à une retraite progressive CARSAT, dans un an, pour mes deux dernières années, en temps partiel 60 %.
Plus trop de temps pour papoter avec vous.
Petit rappel: j'étais sans boulot et j'ai retrouvé du travail en CDD depuis le 12 Avril et je viens de signer un CDI à temps partiel 80% à partir du 1 janvier 2024.
Ce qui me permettra, si ca ne change plus, de partir à la retraite dans 3 ans, en novembre 2026, soit à 63 ans et 9 mois.
De plus je suis éligible à une retraite progressive CARSAT, dans un an, pour mes deux dernières années, en temps partiel 60 %.
tryphon- t'es un pilier !
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
ça c'est de la good news
E.T.
E.T.
Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
Une top nouvelle !
Bravo
Bravo
FAGEY- t'es un pilier !
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
Si c'est pas beau ça !!
navis- t'es un pilier !
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Re: [FIN]Pas de temps libre en 2019, Comment vais je l'occuper en 2022 ? et c'est reparti en 2023
Ah cool, tu pourras bientôt faire partie des "pensionnés" qui n'ont plus le temps de faire quoi que se soit ...
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